mardi 22 mai 2007

Le sacrifice est fait...



Oui je le veux...





vendredi 18 mai 2007

Répartie

Travis: J'ai jouer un tour a une amie, j'ai commander des échantillons de K-Y sur internet à tout les jours pendant un mois à son adresse. Ça bloquer sa boite au lettre.



Moi: Je crois que c'est la première fois que j'entends que tu K-Y a BLOQUER quelque chose!!!

Question existentielles

Vous savez les petits poissons/crustacés/créatures qui nettoient les vitres d'aquariums.

Qu'elle était leur rôle dans les lacs?

jeudi 17 mai 2007

La Confesse

Je l'avoue...

Mon Père, je me confesse, je suis une dépendante.

« Dépendante de l’alcool? Une Alcoolique?»

Non mon Père.

« Dépendante de drogue? Une toxicomane? »

Non mon Père.

« Dépendante affective? »

Non mon Père.

« Ben la calvaire, c’est la confesse pas un game show! »

Je suis dépendante d’un jeu Internet ou pour une période de quelques heures je deviens un pirate. Plus précisément la reine d’un drapeau. Je vogue sur l’océan, à la recherche de brigands, de barbares et pire, d’autres joueurs pour tirer des boulets de canons dans leurs directions et par la suite, leur crisser une volée avec mon épée et parfois même a mains nues.

Je me confesse aussi d’avoir un immense plaisir a déjoué les autres pirates et à repartir avec une partie de leur trésor. J’avoue aussi avoir un malin plaisir à mijoter des plans machiavéliques pour prendre le control d’une île et en faire mienne.

J’orgasme presque a l’idée de couler le bateau d’un drapeau ennemi mais malheureusement pour moi, peut-être du a la peur, ce drapeau s’est effacer et a joint un autre. Coït Interrompu?

« Mon enfant, quel est le nom de ce jeu si démoniaque? »

Yohoho! Puzzle pirates, mon Père.

« J’en prends note, cela me semble amusant, peut-être pourrais-je même devenir Roi à mon tour. »

Par les vents de Virdians*, compétitions tu ne seras! Mes rangs tu joindras.

« Jamais, enfant de Satan! »
Meh, je suis même pas catholique! La Poste De Falcone**, détruiras tout sur son passage, le clergé sera juste la cerise su’l Sunday!


* Nom de l'océan sur lequel je joue
** Nom de mon drapeau

mercredi 16 mai 2007

Sens de la répartie éveillé

Je ne sais pas si c'est le café bien fort que Mari-en-devenir m'a servi ou le copieux déjeuner au lit qu'il m'a si amoureusement préparer mais je'ai le sens de la répartit aujourd'hui.

En pause, une copine et moi parlait du marriage mais surtout du kilt quand un autre boucaneux qui écoutait la conversation demande: "Qu'est qui est porté sous un kilt?"

Et moi, sans laisser de temps mort: "Du rouge à lèvres"

Ma copine qui me fait la remarque: S'il vente, il va ya avoir beaucoup de photo prise."

Et moi de répliquer: " Ca va me servir pour le divorce... j'adore internet!"

mardi 15 mai 2007

Six jours

Quand toutes les autres femmes courent comme des poules pas de têtes six jours avant leur mariage, moi je me la coule douce. Ya pas de quoi en faire un plat. Je vais chercher ma licence cet après-midi, j’ai déjà mon accoutrement fifille (on oubli la belle grande robe blanche avec une traîne longue jusqu'à Vancouver, c’est vraiment pas mon style), Terry a son Kilt, on rencontre la juge aujourd’hui ( oh zut, je dois écrire mon serment), le resto est réserver…

Mes amies de filles se demandent pourquoi je ne suis pas nerveuse et moi sur mon coté je me demande pourquoi toutes les femmes sur le point de se marié se transforment en Bridezilla.

Je me rappelle de 2 épisodes ou n’importe quel autre humain sois-disant normal serait une boule de nerf et moi je suis rester calme… Mon adrénaline commence seulement réagir quelques nano secondes avant le fait accompli.

Au secondaire (ici on y trouve un indice sur mon identité, adressé à Dub), la classe de théâtre à présenter 2 pièces, et quelques heures avant la première la plupart des acteurs se vidait l’estomac, espérant peut-être se débarrasser des papillons s’y logeant. Tandis que moi, essayant de mon mieux de calmer monsieur Lion, qui bien avant de rencontrer Dorothée, évacuait son courage et/ou le dîner servi à la cafétéria cette journée là, je n’arrivais pas à comprendre le sentiment de panique que les acteurs/danseurs/chanteurs ressentaient.

Lorsque étendue derrière mon buisson, le rideau se leva, a ce moment, une boule d’acier massive se mit à croître dans mon estomac. Le trac m’avait rattrapé…

Il y a déjà 5 ans, j’ai pris une des mes meilleures décisions de ma vie, prendre mes clicks et mes claques et me re-localisé à Terre-Neuve. Un coup de tête! Je n’y connaissais pas une âme. J’ai pris un an à me prépare, tout le monde ressentait l’anxiété de partir si loin… tout le monde sauf moi! J’étais excité bien sur, mais pas nerveuse, jusqu'à temps que j’aie mon billet d’avion dans les mains. Trop tard pour le faire mais la seule chose que je voulais faire était de reculer, et rester dans mon nid douillet et si familier.

Les papillons dans mon estomac se sont estomper depuis longtemps. Je ne suis plus un petit Microsiens dansant for pour Dorothée et je me sens chez moi à Terre-Neuve. Je suis présentement calme a six jours de mon mariage mais j’ai une vague impression que le matin du 21, on est mieux de me parler doucement. Surveiller les nouvelles nationales, qui sait? Peut-être me transformerais-je en mante religieuse…

Mot de passe passe pas

Pour des raisons techniques ( ou d'utilisateur ayant oublie comment penser dans les 5 derniers jours) je me vois dans l'obligation de changer l'emplacement de mon blog.

Ancien blog: http://extralargedouble-double.blogspot.com/

Java Matinal

jeudi 10 mai 2007


10 mai 2003, j'entre au Second Cup, Faubourg Ste-Catherine, Montréal, QC, et demande mon grand café, dark roast s'il vous plait.

Demeurant depuis presque 10 ans a Montreal, mes gouts on evolués, voir se sont rafinés. Une routine s'est installées dans mon quotidiens et s'est d'allez chercher mon café pour le travail. De faire la ligne avec la macédoine culturelle Montréalaise en route pour le travail ou pour un cours matinal a L'université Concordia, de commander la même chose tout les matins et comme la majorité des âmes dans la file, me diriger, café en main vers le comptoir pour y ajouter sucre, lait ou crème.Cette routine matinal s'est incrustée dans ma vie et ma suivi jusqu'à mon départ pour Terre-Neuve, le 12 juin 2003.

10 mai 2004, j'entre a Coffee and Companie, Water St, St-John's, NL et demander mon coffee Grande, dark roast please.

Plusieurs mois se sont écoulés avant que je trouver un café décent. La maison ou j'ai demeurer avant celle ci n'avait pas de "coffee shop" et le café au travail me rappelais l'eau du St-Laurent dans le coin de Lasalle... J'ai maintenant l'option de prendre une petite marche dans le centre ville de St-John's et pour le même prix que je payait a Montréal, déguster un bon java en me rendant au travail.Je n'arrive toujours pas à comprendre l'engouement des Terre-Neuviens pour les cafés de chez Tim Hortons. Ce liquide, quoique sucrée, chaud avec qu'un léger gout amer ne me convient pas pour le matin. J'ai toujours qualifié leur café comme breuvage d'après-midi, pas assez corsé pour le matin et malheursement le choix de l'avoir corsé ne nous ai pas offert. Je me résigne donc a être qualifiés de snob venu du "mainland" et de déguster un grande corsé de Coffee and Companie les matins.

10 mai 2007, Elizabeth va faire un "Tim run" et je lui passe ma commande, un extra large double-double.

C'est officiel, Terre-Neuve m'a englouti dans ses coutumes et ses us. Mon "Tim" est sacré, peut importe l'heure. Je me rends au travail le matin en passant au Tim Hortons sur Duckworth, demande mon extra-large double-double, et j'y retourne a mes pauses pour y commander le même nectars des Dieux.

Je suis assimiler.....ou presque